Albator

Avant d’attaquer la critique du film, petite pause nostalgique. Pour moi , albator c’est l’image ci-dessous :

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Mieux, la série culte for myself , c’est le Albator 78 avec ce synopsis qui déchire sa race ( laissez moi mon regard d’enfant enthousiaste) :

En 2977, les Terriens nagent dans l’opulence. Ils ont envoyé des robots qui exploitent les ressources d’autres planètes. Tout ce qui est récolté est distribué gratuitement à la population. Par le truchement de l’abrutisseur mondio-visuel, les seigneurs bloquent les pensées d’un peuple asservi. Dénué de pouvoir réflexif, celui-ci se croit heureux. Pourtant, une mystérieuse sphère noire, recouverte de glyphes inconnus, s’écrase sur Terre. Alors que le gouvernement mondial se montre incapable de réagir, une menace extraterrestre se concrétise bientôt via les Sylvidres, femmes guerrières longilignes au teint verdâtre. Leurs exactions sont attribuées à Albator et à ses pirates ; pourtant, lui seul prend la menace au sérieux et s’engage à les combattre.

Je n’ai pas de mots pour décrire l’émotion que j’avais en matant cette série. Quand les femmes guerrières les sylvidres mourraient, elles poussaient un cri qui me glaçait le sang !! le héros était romantique et vertueux. Et je maitrisais à donf le morceau à l’ocarina.

Fin 2013, je suis un vieux de 45 berges et on sort un remake de mon héros favori . Un truc en image de synthèse bien foutu mais qui perd complétement le charme de l’animation. Le scénario est un peu confus entre un Albator immortel ( why ?)  qui a fait une grosse bêtise dans le passé et qui cherche sa rédemption. En plus je n’ai pas retrouvé ma petite stellie !!

Je n’ai pas passé un mauvais moment dans la salle de cinoche mais il n’y avait pas ce charme nostalgique. Bref, gros échec pour ce remake. dernière remarque : je supporte de moins en moins les films en 3D. Être sous Doliprane après un film me gonfle un peu.

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