2 juillet 1980, le film « caligula » de Tinto Brass. La vie de Caligula. Il tue le vieil empereur de Rome, son grand père adoptif, et prend sa place au pouvoir. Le début de son règne est très populaire. Les premiers signes de la folie apparaissent lors d’un orage au cours duquel Caligula parle à son cheval. A la mort de Drusilla, soeur et maîtresse de Caligula, celui-ci, désespéré, se mêle anonyme à la foule romaine. Jeté en prison, il est reconnu par un géant, dont il fait aussitôt son ami. Caligula se nomme ensuite Dieu et annonce pain et jeux gratuits pour le peuple. Pour remplir les caisses du Trésor, il fait construire un immense bateau-bordel, où il oblige femmes et filles des sénateurs à se prostituer. Il fait sénateur son cheval. Il est assassiné lors d’un complot…
La première fois que j’ai vu ce film, je suis resté bouché bée pendant 72 heures. Tortures en tous genres, orgies géantes, fist fucking à la chantilly. les acteurs sont des grosses pointures : malcom mc dowell, peter o’toole..les décors somptueux. Tout cela n’est pas facile à digérer en une seule fois.
Il existe deux versions de ce film : soft et porno.Cinematographiquement, la version porno n’offre pas grand chose. sexuellement là on est gaté, la scéne de partouze orgiaque est particuliérement sympa avec de belles actrices italiennes aux formes arrondis (je rappelle que le réalisateur Tinto Brass est un fanatique des fesses et que chacun de ses films est un hommage aux popotins). Un bon point pour une fellation assez hallucinante aux sons des tambours ( rien que d’y penser j’ai des palpitations).
Pour l’anecdote, Le réalisateur Tinto Brass a renié ce film ainsi que certains des acteurs comme peter o’toole qui s’est demandé ce qu’il foutait dans un film trash.
Bref un film culte qui a bercé mon adolescence. Je l’ai acheté en DVD, par nostalgie et non pas par perversité comme certain(e)s le pensent (ou alors juste un petit peu)