Depuis bien des années, j’avais le désir de visiter la ville qui a nous a volé l’idée de l’art moderne. New York. Une semaine de visite, j’ai encore des images plein la tête.
Ce qui frappe dans cette ville c’est le bruit. . on baigne dans le tapageur, le turbulent : Alarme de police, moteur electrique, klaxon…Naïvement, on pense trouver le calme dans un restaurant. Que nenni ! à New York, il n’y a pas de notion de fond sonore.. On peut à peine discuter. Le plus amusant est d’observer les habitués, Les enceintes hurlant de la musique ne les genent pas du tout. La palme d’or revient au Milos où l’insonorisation est un concept totalement ignoré.
Autre habitude à avoir : supporter la climatisation. De jour comme de nuit, quelque soit l’endroit, l’air conditionné est à fond. Amateur de rhume et de souffle froid dans la nuque vous êtes les bienvenus.
j’ai parcouru la ville à un rythme éffréné. j’ai vu, observé, senti beaucoup de quartiers. En se promenant on passe sans transition de vastes buildings de 50 étages à des petites résidences de 3 ou 4 paliers. La ville se prête délicieusement à l’errance. Si on recherche le calme, on le trouve sur les bords de la rivière Hudson…on veut de l’animation, go à times square à la rencontre du naked cowboy.
De retour en France depuis vendredi, je n’ai pas tout à fait quitté New York City. En écrivant cet article, mille souvenirs de bousculent dans ma tête. D’autres anecdotes jailliront, je m’empresserai de les écrire ici.