J’avais déjà abordé le cas de Célina Pina en 2016. Déjà une fixette sur l’islam. Une expérience du terrain proche de zéro mais un aplomb pour baratiner assez impressionnant. Après une petit période creuse, elle revient en force dans un article sur causeur.
Si je suis fragile psychologiquement, en lisant cet article, la peur et l’anxiété montent en flèche. Mais en me posant 5 minutes et en prenant en compte la mythomanie de la polémiste, une autre réalité s’offre à mes yeux.
Il faut prendre en compte que Céline Pina ment régulièrement. Par exemple, en imaginant une police de la vertu (lire ici) alors que la réalité était différente ( lire ici)
Premier réflexe. S’informer du nombre de listes municipales lors du premier tour des élections. En lisant cet article, nous avons donc 902 465 candidats et 20765 listes.
Fin 2019, il y avait déjà eu un caca nerveux de Xavier Bertrand sur de possibles listes communautaires et leur danger. On retrouve bien sûr Céline Pina sur ce sujet. La France a peur. Les islamistes sont partout. Ils vont prendre le pouvoir dans toutes les les banlieues françaises. La charia dans les quartiers est pour demain.
Mars 2020, il est temps de faire les comptes des listes communautaires qui envahissent nos banlieues. je mate donc cet article.
Je me pince. Depuis fin 2019, des politiques et des polémistes font une chiasse sur l’islam politique aux portes du pouvoir. Mai 2020, Céline Pina nous fait une intro avec des islamistes en mode complice des caïds de la drogue. Pour 10 listes ! dont une qui avait récolté 0,13 % aux élections européennes. Ce retour médiatique de Céline Pina s’explique par son engagement dans le mouvement de Michel Onfray , Front populaire.
En farfouillant un peu, toujours dans le même magazine causeur, le même jour, je lis ceci…
Les choses sont claires. Depuis 2015, nous avions le printemps républicain pour faire chier les musulmans. En perte de vitesse, il y a un nouveau challenger : Front populaire. A mon humble avis, cela doit sentir aussi mauvais.