Deux ans sans écrire ici. Sans doute le besoin de me ressourcer. Mais une actualité m’a donné envie de reprendre ce petit blog historique. Matez l’image ci dessous.
S’il fallait une preuve de ce que je dénonce depuis 2015 quand j’ai découvert cette clique opportuniste exploitant les attentats. Amine El Khatmi, fondateur et ancien président du printemps républicain ne fera pas barrage à l’extrême droite en cas de duel Mélenchon / Le Pen.
On peut penser tout ce que l’on veut de Jean Luc Mélenchon mais préférer voter pour un parti fasciste montre bien les dérives de ce mouvement.
Bien entendu, les membres de son ancienne meute jouent les vierges effarouchées en baratinant sur un vote blanc qui laisserait passer l’extrême droite en France.
Quel parcours depuis 2016 jusqu’à ce clap de fin pathétique. Le jeu de dupe est terminé. Le printemps républicain n’a jamais été un barrage contre le front national mais son promoteur en diabolisant Jean Luc Mélenchon. Les choses sont claires. Ils préfèrent le fascisme à une gauche lourdingue.
Cela me rappelle la peur de la droite quand la gauche a gagné en 1981. C’était la fin du monde. Les bourgeois imaginaient les chars à la Concorde. Le printemps républicain est du même niveau mais en plus grave.
Plus grave car nous sommes en 2023 avec un rassemblement national qui peut faire beaucoup de mal. Soutenu par des médias comme Cnews et toute une machinerie alimentée par les Enthoven, Fourest et j’en oublie d’autres…Si par malheur Marine Le pen arrive au pouvoir, ces mêmes crétins hurleront au scandale en accusant autrui. C’est leur moteur. Aucune responsabilité mais un talent pour accuser les autres de tous les maux. L’observatoire de la laïcité en a fait les frais. Accusés d’être proches des islamistes et autres joyeusetés.
Bilan du printemps républicain après la dissolution de l’observatoire : le scandale de fonds Marianne pour des résultats nullissimes. Les choses sont claires. Au printemps, les républicains sont absents.
Un mot de la fin avec ce tweet qui résumé bien la médiocrité de ce mouvement.