Georges Bataille – La littérature et le mal

130

À travers cet essai, Georges Bataille, se fondant sur la thèse selon laquelle le Mal et la littérature sont fondamentalement inséparables, étudie huit auteurs célèbres (Emily Brontë, Baudelaire, Jean Genet…) dont il considère que les récits sont empreints du Mal et d’une culpabilité certaine. Il cherche à démontrer ainsi que la littérature, qui a pour rôle d’ébranler le lecteur et d’illustrer la prédisposition de l’homme pour le Mal, ne saurait atteindre son but si les écrivains s’éloignaient du Mal. Ci dessous un entretien passionnant :

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.