je suis envieux d’Indiana Jones. Ce héros souffre d’erpetophobie. La peur des serpents. Plus jeune, me comparant à ce personnage de fiction, je suis vite retombé sur terre en découvrant ma propre phobie : Les boutons de chemise. Le public n’est pas encore prêt d’avoir un héros qui ne peut pas déboutonner le chemisier d’une conquête féminine. J’aurai pu avoir la frayeur des araignées, des tigres ou de Laurent Cabrol. Non, j’ai connement peur des boutons de chemise.
A la vue d’un bouton de chemise, ma gorge se serre comme si je me mettais les doigts au fond de la gorge. Plus jeune, j’avais du mal à assumer cette peur mais j’ai vite réalisé qu’elle était normale. D’après des infos piochées sur internet, la phobie permet de détourner l’anxiété sur des objets ou des animaux et de compenser les angoisses d’enfance.
Le berceau. j’ai essayé de mener mon enquête D’après certaines sources (mes parents) , enfant, j’ai avalé une capsule de bouteille en plastique. Amené aux urgences, le bouchon n’a jamais été retrouvé. Je n’ai aucun souvenir de cet évenement mais depuis cette date, quand je me plains de maux de tête ou douleurs diverses, ma mère me répéte assez souvent : « bobig tu as toujours quelque chose au trou de balle ». ceci explique peut être cela.