Tout commence avec une émission sur France 2 où un homme de 39 ans raconte sa découverte du point G masculin.
Adepte du plaisir dans toutes ses formes, je vous avoue que la découverte d’une zone érogène m’a tout de suite titillé. J’ai mis du temps avant de m’informer et de découvrir un gadget qui permet de » masser et stimuler la prostate pour donner du plaisir sexuel » (merci wikipedia). Il y a quelques semaines, profitant de la visite un sex-shop sympa vers Chatelet, j’ai enfin acheté l’objet. très joli design. J’avoue avoir été surpris par la qualité. Après l’esthétique, passons à la pratique.
La théorie est simple. Le gadget permet de » convertir les mouvements naturels et contractions du sphincter anal en stimulation directe de la prostate et du périnée sans intervention manuelle » (merci wikipedia). Mais la réalité n’est pas si évidente.
Déjà un premier conseil, avant d’utiliser, il faut lire le mode d’emploi ! Excessif, j’ai vaguement survolé la brochure et le soir même de l’achat, j’ai lancé la pratique dans ma salle de bains. Erreur fatale !! j’ai vite réalisé qu’il fallait se mettre dans de bonnes conditions et que le plaisir ne venait pas d’un claquement de doigt. Séance loupé avec la vague sensation d’avoir un gros doigt dans les fesses toute la soirée.
j’ai donc surfé sur internet et j’ai trouvé le site explicatif pour l’utilisation de l’aneros. J’en suis à ma deuxième séance – d’après l’article il faut une quinzaine de sessions (j’ai du boulot !). Je suis encore loin du résultat mais avec de la volonté, je ne désespère pas d’y arriver car je veux vraiment connaitre ce type d’orgasme avant d’avoir un pied dans la tombe.