Sucker Punch

Samedi. il fait super beau dehors. Avec Bobig junior, on décide donc de s’enfermer dans une salle obscure avec un paquet de pop-corn géant. Au programme Sucker Punch.

Le début du synopsis pompé sur wikipédia :

Dans les années 50, une jeune fille dont la mère viens de mourir tue accidentellement sa petite soeur en se défendant contre son beau-père tyrannique qui tente d’abuser d’elles. Arrêtée par la police, elle est enfermée dans un asile psychiatrique et son beau père s’arrange financièrement avec l’infirmier responsable de l’asile, Blue Jones, pour que la jeune fille soit lobotomisée au plus vite pour éviter que les policiers puissent avoir son témoignage (ce qui le compromettrait définitivement et l’empêcherait de toucher l’héritage). Entendant tout du complot, elle se fixe un objectif : s’évader de l’asile.

Afin de supporter le quotidien des cinq jours qu’elle aura à passer dans l’établissement avant son opération par High Roller, la jeune femme s’enferme dans un monde onirique où l’asile devient un cabaret dans lequel les internées sont des danseuses, Blue étant le propriétaire des lieux et Mme Gorski, sa thérapeute, est la chorégraphe.

Bon, je préviens tout de suite les critiques professionnels de la profession. Oui ce film n’est pas un chef d’œuvre. Pour l’apprécier, il suffit de retirer sa carte-mémoire « adulte » et d’insérer celle marquée « adolescence ».
Après cette manipulation, on se laisse emballer par l’imaginaire, la narration et les moultes références aux mangas, au steampunk et autres rigolades.
Je ne dévoilerai pas la fin mais il est rare qu’un film américain se termine sur une note pessimiste. Anecdote : je suis amoureux fou de Carla Gugino, l’interprète de la chorégraphe.

Ma note pour « Sucker Punch » : 6/10

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.