Le defenseur de la veuve et l’orphelin

c’est décidé. Je suis le plus grand fan de Benjamin Lancar. Chacune de ses interventions me provoquent des frissons de plaisir.

Comme tout amoureux transi, je piste ses interventions sur le web et ailleurs. Je me suis même abonné à son compte Twitter. Il faut comprendre que Benjamin est un savant mélange de Georges Marchais, Jean roucas et Pierre Poujade (si ! si ! c’est possible). Je pensais qu’on avait atteint le fond avec Eric Raoult et Frédéric Lefebvre. hé ben non. la jeunesse prend la relève. A mon avis, les médias vont se battre pour avoir benjamin en direct. C’est du trapèze sans filet. D’ailleurs il se lance à midi sur France 24 à 12 h 10. Il le dit lui même sur son compte Twitter :

« A 12h10, sur France 24. je défends Eric Woerth contre la calomnie »

Avec ce superdupont, je n’aimerai pas être à la place du ministre du travail.

Tremble UMP, Amine donne son opinion

C’est la période estivale. C’est le creux de la vague pour tous les journalistes. Rien à se mettre sous la dent. Quand soudain….

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un journaliste du monde farfouillant le réseau facebook tombe sur la nouvelle qui va changer le paysage de la politique française. amine benalia-brouch quitte l’UMP et rejoint le camp Villepin. il met en doute toute la politique du gouvernement. j’imagine aussitôt Sarkozy organiser une réunion d’urgence. Curieux, je visite son profil facebook et je découvre ses passions dans la vie.

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Vous avez lu ? un type membre du fan club de M.Pokora est interrogé par des journalistes du Monde !! On est foutu. Je m’arrête là, je prends un prozac et je me couche.

Benjamin Lancar

Je reprends mes petites habitudes en relançant ma catégorie « la phrase du jour ».

En guest star aujourd’hui Benjamin Lancar, chef de l’UMP jeunesse (mon nouveau chouchou) avec ce chef d’oeuvre (Accrochez vous le slip) :

« Nicolas Sarkozy avait raison de dire que la France : on l’aime ou on la quitte, donc si les Roms l’aiment pas, qu’ils partent! »

Suite à cette phrase, des paroles de chanson ont trotté dans ma tête.

le bel exemple

Si j’ai bien compris. les micro-partis permettent de contourner légalement la loi sur le financement des partis politiques. Loi défendue par Nicolas Sarkozy, et qui limite à 7500 euros par an le montant des dons des particuliers à un parti. Financés sur le même principe, les micro-partis alimenteraient ensuite les grandes formations, puisque les partis peuvent se faire des dons entre eux.

Donc…vous m’arrêtez si je me trompe. Nos dirigeants prônent la tolérance zéro à la moindre infraction et pointent régulièrement du doigt les personnes contournant les lois…hum…donc ces dirigeants contournent leurs propres lois. J’imagine bien le brainstorming des députés UMP.

– Bon alors les gars…il faut envoyer un message fort au peuple sur la corruption des partis politiques. je propose un loi pour limiter le financement occulte des partis..
– super bonne idée Nicolas ! mais on fait comment pour financer notre campagne ?
– ok tu soulèves un problème Brice…tu as une idée Laurent ?
– oui on peut créer une multitude de micro-partis pour se faire des pépéttes tout en gardant une image politique propre !
– C’est bon ça coco !
– merci patron…

comment voulez vous que j’intéresse mes gamins à la politique avec des énergumènes pareils !!

La France a peur

En me baladant dans un centre commercial, je croise un jeune. Front bas et le regard fier. Mon regard se pose sur son t-shirt  » L’Algérie, ma patrie jusqu’à la mort ».

Pendant trente secondes, j’étais persuadé d’avoir mal lu. Je plisse les yeux. Je ne m’étais pas trompé. 100 % tolérant sur les tenues vestimentaires, je m’interrogeais cependant sur l’objectif de ce t-Shirt. Provoc’ facile. j’y vois la même bêtise que le slogan « la France aux français ». Une agression contre l’intelligence.
Après petite enquête sur la web, je découvre que cette production de t-shirt met en avant d’autres slogans :

c’est dans le coeur qu’on est muslim

si tu m’aimes pas , va niquer ta mère

Ok. le niveau ne décolle pas du sol. De mon côté, je les classe au même niveau que les adhérents du front national quand soudain, je découvre un autre texte.

« je pisse sur la tête des racistes du haut de la tour eiffel » je résume. Après une série de T-shirt agressif, qui ne peut qu’exacerber le haine ordinaire, les mêmes personnes se mettent dans le clan des anti-racistes ? Mouais. il y a manipulation du début jusqu’à la fin. pirouette.
Ce refuge dans le patriotisme primaire est une jolie manière de se mettre des œillères et de ne pas affronter la triste réalité de la crise. Ce n’est pas uniquement le fait d’un groupe de rap ou de jeunes de banlieue. nos grands responsables, en se sentant choqué par un crétin se torchant avec le drapeau national, sont du même niveau que ces T-shirt.
On vit une époque formidable.

Scarface & Gargamel

On vit une époque formidable. Pendant que les médias font une fixette sur les agissements des pousseurs de ballon rond, les grands de ce monde continuent de tapiner avec le milieu politique en toute discrétion.

Dans les pays anglo-saxons, les démêlés d’Eric Woerth avec l’affaire Bettencourt lui auraient valu une démission immédiate. Pas en France. dans notre cher pays, on préfère se concentrer sur les racailles du football plutôt que sur les voyous en col blanc.
Alors que Bayrou, Finkielkraut et les autres s’interrogent sur l’échec de l’intégration à la française, faisant dévier le débat vers le nauséeux, les magouilles entre la politique et des grandes entreprises passent en second plan. logique, les scandales politico-financiers sont moins télégeniques.
Comparons un instant Franck Ribéry et Eric Woerth. A gauche, une tête de killer avec une solide réputation de caïd. Un mec, un vrai, qui couche avec des putes de luxe. Le scarface de Boulogne sur mer.

Sur la droite, Eric Woerth est moins photogénique. Il ressemble vaguement à Gargamel. Beau dans son costume, il fricote avec de riches entreprises sans que les journalistes lui tombent dessus sur les risques de conflits d’intérêts. Il ne dit pas de gros mots. Il s’exprime avec clarté, contrairement à Ribéry qui semble avoir le vocabulaire d’une huitre.
Aucune hésitation, les dessous crasseux du foot ont le meilleur potentiel de spectacle pour faire la Une. Hélas.

Loft soccer

Lors de la finale de la coupe du monde 1998, je bouquinais tranquillement  dans ma chambre en essayant d’ignorer les cris de madame Bobig, hystérique devant le score écrasant de la France contre le Brésil. 2010, les temps ont bien changé.

Alors que madame Bobig préfère éviter les prestations de cette coupe du monde, sans doute nostalgique des belles cuisses de Dugarry, je prends un pied total à observer la déliquescence de notre équipe nationale. Soyons clair. Ce ne sont plus des matchs de foot mais de la pure télé réalité. A croire qu’Endemol a investi dans le football pour nous donner un bon spectacle affligeant dont ils ont le secret. Tous les ingrédients sont réunis pour faire de bons épisodes de loft story …soccer.  De la haine, des éliminations, des rumeurs…
Le truc qui me frappe le plus en observant les différentes prestations des acteurs, c’est le côté racaille des joueurs, langage limité, front bas. ça ne vole pas haut. Je comprends toute la difficulté de Domenech pour entrainer ces joueurs. pas facile d’expliquer les règles du jeu à chaque début de match.
la célèbre citation  – Le football est un sport de gentlemen joué par des voyous et le rugby est un sport de voyous joué par des gentlemen – prend tout son sens.

Inside la nouvelle Star

Je suis un excessif, j’aime aller au bout de mes limites. Tester la résistance de mon corps et de mon esprit dans des milieux agressifs. Un exemple : il y a quelques années, je n’ai pas hésité un instant à assister à un concert de Sylvie Vartan au palais des sports. Pourtant, malgré cette expérience, rien ne m’avait préparé à l’ épreuve ultime : Assister au direct de « la nouvelle star » !!

Mon histoire commence le 11 mai 2010. Dehors il pleuvait, alors qu’une sale morosité régnait dans la maison, Miss Bobig m’a interpellé : « tu fais toujours des trucs avec ton fils mais rien avec moi !! ce n’est pas juste ». A cet instant précis, j’ai eu un flash. le genre d’idée qu’on regrette dans les trente secondes qui suivent :

Poupoune !! et si on assistait à la nouvelle star ?

Connexion sur un moteur de recherche, je découvre avec un petit sourire filou, qu’il faut participer à un tirage au sort pour assister à cette émission. Rarement heureux en jeu, je me suis inscrit, persuadé que j’allais perdre.
Les jours s’écoulent mollement comme des gouttes d’eau sur les fenêtres de notre maison (c’est beau, on dirait du obispo). le 15 mai, je consulte ma messagerie. Ouf j’ai la réponse, je vais annoncer l’échec à ma fille. quand soudain, un cri de bête retentit dans l’appartement « Wahaaaaaaa papou j’ai gagné à la nouvelle star !! ».
Le monde s’écroule autour de moi. La petite rusée, connaissant mon infortune avec le hasard, avait lancé l’inscription de son côté. Doué pour la comédie, je feins le bonheur. Miss Bobig a donc observé la joie immense de son père d’assister à un jeu de merde sur M6.

19 mai. J’ai passé l’après midi avec ma fille à la conception d’une jolie banderole en hommage à une candidate. Après avoir convaincu madame Bobig de m’accompagner dans cette galère, nous voici parti direction le Pavillon Baltard…17H30, il y a déjà une petite file de personnes qui attendent. Je suis rassuré. Nous aurons des places assises les doigts dans le nez, je rassure madame Bobig qui a fait pété des chaussures talons haut pour l’occasion.
Derrière nous, un groupe de jeunes d’une vingtaine d’années. Pour résumer méchamment, dans le lot de physiques ingrats, deux filles se démarquent par leurs tenues légères et leurs jolies minois. Ce groupe a une importance dans la suite de l’histoire…

18H30, Une heure debout, le visage de madame Bobig se durcit. les magnifiques chaussures ne facilitent pas l’attente. Nous avançons petit à petit , quand un membre de la sécurité hurle à la cantonade « il n’y a plus de places assises ! ». Madame Bobig me jette un regard à la Clint eastwood, je tente un vague rictus pour la détendre. Les choses se dégradent. J’ai envie d’annoncer à Poupoune que l’on renonce au spectacle mais l’esprit de sacrifice reprend le dessus…nous y assisterons debout !!

19H15. Après vérification de la banderole, nous rentrons dans les fosses qui jouxtent la scène de Baltard avec le petit groupe entraperçu plus haut. Les places assises sont toutes prises, sauf derrière le jury. Madame Bobig tente le contact avec la responsable de la salle, un jolie blonde au visage fermé. « Bonjour, y a t-il une possibilité pour des places assises pour ma fille ? »

– Non désolé madame. Tout est réservé…si vous voulez partir vous pouvez….

Madame bobig se retourne en ébullition. Je courbe l’échine, feignant d’observer mes chaussures. les deux mignonnes s’approchent de la responsable…

– oui bien sûr vous pouvez prendre les places juste derrière le jury….

Bon sang mais c’est bien sûr. Il y a un filtrage pour s’asseoir derrière Lio et les autres…deux critères : Belle gueule et beaux seins. Les copines moches s’approchent pour espérer les mêmes places. Un grand black membre de la sécurité casse immédiatement leurs espoirs :

« Non, pour vous c’est non…vos copines ont un physique, vous ce n’est pas possible ». Il balance ça, sourire aux lèvres, ton humoristique…je reste bouche bée. Les laids ne se défendent pas et se retournent pour me tenir compagnie dans la fosse. « quelle délicatesse » soupire une des recalées.

Remarque de madame Bobig : « Black et petite , je n’ai aucune chance d’être derrière Dédé ». C’est vrai que la couleur dominante est le blanc. A part Marco Prince, le gradin, derrière le jury, est pure white.

– ci dessus l’image des deux filles (en rose et bleu) qui ont abandonné leurs copines pour montrer leurs seins derrière André manoukian.

20h00. J’observe la salle et je constate un public peu nombreux. Cet effet de foule est dû à la concentration de personnes sur les gradins. Idem, pour la fosse, on n’est pas serré. Un rondouillard aux yeux bleus apparaît sur scène : « Bonssooooarrrrrr baltard !! ». C’est le chauffeur de salle. Ce type qui a échoué à sa première année d’humour est là pour mettre l’ambiance. Au final, ce gaillard est un grand générateur de stress qui annonce les interdits sur un ton badin (cela semble une habitude sur ce tournage). Pas de bisous, pas de discussion, ne pas se lever derrière le jury, toujours avoir la patate, ne pas tirer la tronche. Sur ce dernier point, il repère une victime dans la salle. Un homme d’une trentaine d’années à la mine triste : « vous n’êtes pas content d’être là ? hein ? si !! wouaih c’est super !! ».
Par moment, il a des petits trémolos dans la voix  » ouiii cette émission repose sur vos épaules !! on a besoin de vous !! »
L’espace d’une seconde, je le prends au sérieux. Puis mon esprit critique intervient rapidement pour me réveiller. Nous ne sommes que des pixels qui donnent une sensation de foule en furie. Du bétail au service de la mise en scène.

20H40. Miss Bobig est au premier rang pour voir le spectacle. Ma mission : observer, protéger, intervenir tout en regardant l’émission. La présentatrice est un joli brin de fille malgré une stature que je nomme finement « balai dans le cul ». Cinq, quatre, trois, deux, un…l’émission commence…

Les artistes se succèdent. Première constatation. Le pavillon Baltard n’est pas conçu pour les concerts. le son est pourri, on n’entend pas bien les candidats. Deuxième constatation, deux mondes se côtoient sans se rencontrer : le public et la scène. le jury composé de Philippe Manœuvre, André Manoukian, Lio et marco Prince, semble dans une petite bulle hermétique. isolé avec leurs oreillettes pour apprécier un meilleur son.

J’observe plus attentivement Philippe Manœuvre. Bon sang Philippe ! qu’est ce qui nous arrivent ? je te regardais à la télé aux enfants du rock avec le cultissime « sex machine » et nous voilà, toi à la nouvelle star, et moi dans la fosse…merde quel parcours merdique. Ce coup de blues disparait vite en observant miss Bobig qui vit le spectacle bien loin du cynisme de son papa. Elle s’éclate.

Première coupure pub. Mister humour (le chauffeur de salle) intervient  » OUIiiiaaaais super , belle première partie…bon le metteur en scène a constaté une chose..vous là..oui.. il ne faut pas discuter ok ? wouaiiihh c’est super ». De nouvelles consignes pour motiver les troupes. Reprise de l’émission.

J’ai plusieurs heures dans les pattes. Je serre les dents. le jury fait son boulot mollement. Chacun remplit son rôle pour donner un semblant de spectacle avec bons mots et petites vacheries. ça rigole mais ça ne pète pas plus haut que l’humour des grosses têtes. Une seule chose me fascine. Les équipes techniques qui courent autour de la scène : Cameramen et techniciens s’activent comme des petits fourmis pour que le spectacle ne s’écroule pas comme un château de cartes. tout repose sur eux. Chapeau bas.

Deuxième ou troisième coupure pub. Il fait chaud, il fait soif et j’ai envie de tuer Mister Humour. Je saute sur scène et je tranche la gorge de ce malotru qui nous fait sans cesse des reproches. Tiens prends ça !! tu la sens ma haine !! « OUUUUaiiiiiii !!  » la voix du chauffeur de salle me fait sursauter. Je somnolais. c’était un joli rêve, je suis de retour dans le cauchemar.

23h00, je tiens à peine debout. les chansons se succèdent comme les plats d’un interminable repas. Je suis nauséeux quand apparaît la guest star pour la chanson finale : Amel Bent. Vêtue d’un petit haut sympa avec un pantalon hyper serré. Ce futal fait peur. à la moindre flatulence, il peut exploser. Comment le corps humain peut il résister à une telle pression? bravo Amel !

23H30. J’ai l’impression de louper des centaines d’autres anecdotes. Le malaise d’une jeune fille à cause de la chaleur, le lourdingue qui se place à chaque fois sur le chemin des caméras…etc…je garde ça dans une petite partie de mon cerveau, je les balancerai lors de soirées familiales ou autres. C’est la fin de l’émission. Je saisis ma fille par les cheveux, j’embarque madame Bobig…Go go go ! il est temps de rentrer et de pleurer sur mon oreiller.

Bonus :

Un petit jeu. Sauras tu retrouver Bobig et sa fille sur cette image ? (Cliquez pour agrandir l’image)

La réponse : Cliquez sur le lien. La flèche rouge désigne Miss Bobig, la blanche Bobig himself.

No sarkozy Day

Dans la série « on utilise internet pour pondre des trucs qui ne servent à rien », je vous propose le « no sarkozy day ». Le principe est simple : Boycotter Nicolas Sarkozy durant une journée.

Quand on se balade sur le site du No Sarkozy, ça commence mal avec la rubrique « qui sommes nous ? », je copie/colle :

géré par une équipe indépendante de tout syndicat, parti politique. L’équipe est composée de simples citoyens et militants opposés à la politique du gouvernement Sarkozy.

On sent le gros pipeau. Le truc populiste pour attirer un maximum de personnes. Pas de parti, pas de syndicat…il ne faut pas pousser mémé dans les orties ! Ce truc est politisé. point barre. stop  ! de faire les faux culs. Les liens sur désobeir.net montre bien la nature des membres. la crise de fou rire vient avec l’entretien d’un des membres de l’association. Avec son look cheveux longs et poils au menton, on sent que Benjamin Ball est un ancien gars de l’UMP jeunesse déçu par le sarkozysme. En faisant une recherche, ce n’est pas le premier coup d’essai du garçon. Il a un blog avec un joli logo « wikio » . Un activisme du web un peu faiblard qui fantasme sur le nombre d’inscrits sur facebook et qui se retrouvent trois pelés et un tondu je jour J.
Pourtant l’idée de cette journée sans sarkozy , inspirée par celle contre berlusconi,pouvait être marrante si seulement il n’y avait pas cette hypocrisie.
C’est tellement ennuyeux que je préfère utiliser ma méthode pour dégager notre cher président. Méthode simple, qui me fera sans doute passer pour un vieux con, mais qui a fait ses preuves. Dans mon portefeuille, j’ai une carte d’électeur que je dégaine à chaque occasion.

Le site de l’élysée

Ha oui ! la french touch…cette originalité française qui nous permet de briller à travers le monde entier…Dernier exemple. le site de la présidence de la république française.

Les mauvaises langues qui diront que c’est le copié-collé du site de la maison blanche seront bannis du pays pour une durée indéterminée. Cela ne ressemble pas du tout à la White house !

j’ai remarqué une grosse différence entre les deux sites. Là où Barack Obama met en avant son équipe dans un onglet de la navigation principale, Nicolas Sarkozy ne parle que de lui. Chapeau bas pour l’ego en ligne.